Le jour où Clémence prend conscience que personne ne l’a jamais admirée, pouf, son père meurt. Bercée par les illusions de restes d’une enfance compliquée, Clémence n’a d’autre choix que de remonter la pente d’une estime de soi qu’elle ne pensait pas si basse. Lorsque le destin met sur son chemin, un certain Paul, que tout le monde surnomme Paul Pot à cause d’une tendance lourde à la tyrannie, Clémence se pose la seule question qui vaille : cette personne est-elle la bonne personne ?