Léo a eu son heure de gloire pendant les remous universitaires de Louvain, en 68. Il était alors comme l'ambassadeur du mouvement étudiant, et potassait avec délice le conflit sino-soviétique. 20 ans après, il habite seul dans une petite chambre, vit du minimex, étudie toujours et arrondit ses fins de mois en participant à des jeux télévisés. Pauvre mais honnête.